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notre mission clinique?

Votre aide financière permettra à la Clinique sociale de psychanalyse de Montréal d’offrir à des personnes à faible revenu ayant des problèmes de santé mentale ou de souffrance psychologique, des services de psychothérapie de qualité.

Alors que les problèmes de santé mentale ne cessent d’augmenter, les jeunes adultes sont le groupe d’âge présentant le plus haut taux de détresse psychologique. Qui plus est, ils représentent l’un des segments de la population les plus touchés par la pauvreté. Leur détresse peut se traduire par une difficulté à s’engager dans des projets, à trouver et conserver un emploi ou à poursuivre leurs études. Certains se disent désespérés, aux prises avec le sentiment d’errer dans la vie. D’autres adoptent des comportements autodestructeurs ou sont trop désorganisés psychiquement pour se soumettre à quelconque contrainte et exigence scolaires, professionnelles ou relationnelles.

Faute d’avoir les moyens financiers pour avoir recours à des services adéquats, plusieurs de ces jeunes risquent de voir leur état de santé mentale s’aggraver et leurs troubles devenir chroniques. Pourtant, avec une aide appropriée, ces jeunes pourraient devenir les personnes responsables et créatrices qu’ils souhaitent être, pouvant à leur tour contribuer à notre société.

La Clinique psychanalytique de Montréal a pour mission d’offrir aux personnes à faible revenu ayant des problèmes de santé mentale ou de souffrance psychologique des services de psychanalyse et de psychothérapie de qualité. Environ 75 % des personnes qui s’adressent à nous sont âgées entre 18 et 35 ans.

Des soins aux effets multiplicateurs

De nombreuses études ont démontré les bienfaits de l’approche psychanalytique. Elle aide la personne à comprendre ses difficultés psychoaffectives. Elle lui permet d’améliorer ses relations interpersonnelles, ses compétences parentales, sa capacité de faire face aux défis de la vie, etc. Elle a valeur préventive et réduit les risques de chronicisation des troubles. Elle contribue, en outre, à la réduction significative des coûts afférents aux problèmes de santé mentale (congés de maladie, hospitalisations, médications, etc.).